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Serial Company, tout nous réussit...


« RENDEZ-VOUS AVEC LA GAGNE »

La biographie officielle de Bob Serial

Editions Serial Book

 

« Si j'ai choisi de raconter ma vie après plus de 50 ans de business, c'est parce que je suis intimement persuadé qu'en chacun de nous sommeille un entrepreneur qui ne demande qu'à se mesurer à la concurrence»
Bob Serial, 4ème de couverture de « Rendez-vous avec la gagne »
 

« Dans la vie, il n’y a pas de gagnants ou de perdants. Il n’y a que des gens qui osent et des gens qui n’osent pas… »
Bob Serial, séminaire « Comment devenir un multimilliardaire épanoui et décomplexé en 7 leçons et deux semaines», 4 août 2002
 

« Winner n’est pas une question de chance ou de hasard. Ce sont les loosers qui pensent cela. Non, winner est simplement une question d’état d’esprit.»
Bob Serial, page 13 de « Rendez-vous avec la gagne »

 
« Il n’y a pas de divergence fondamentale entre celui qui réussit et celui qui rate. Juste des nuances qui font au bout du compte la différence. Celui qui rate se plaint d’avoir raté. Celui qui réussit ne se plaint jamais. »
Bob Serial devant le Congrès Américain, le 25 novembre 2007

 

C’est en 1946 dans un Varsovie dévasté par des années de guerre que naît Bobrislav Serialowkjichoviskyskawjy, fils unique de Lezch un ouvrier en bâtiment et Svetlana une femme de ménage. Cette période polonaise façonnera à jamais le caractère du petit Bobrislav. C’est le temps du froid et de la faim. Des difficultés quotidiennes.

Rapidement face à la montée du péril rouge et des conditions d’existence misérables, le choix d’émigrer aux Etats-Unis s’impose.

Ses origines modestes et polonaises, Bob Serial ne les oubliera jamais. En 2004 au 20 heures de Serial Network, il déclarera plein de tendresse dans une de ses rares confessions publiques :

« Les polaks, ils me mangent désormais dans la main »

 

Arrivé en Amérique à l’âge de 7 ans, le petit Bobrislav comprend très rapidement les possibilités que lui offre le pays de la libre entreprise. A 8 ans, il convaint son père de se lancer dans le commerce de céréales pour petit déjeuner dont il pressent avant tout le monde l’émergence sur le marché intérieur américain. Lezch abandonne son travail d’ouvrier pour se lancer dans le business. Serial Flakes était né.

Pour mettre toutes les chances de son côté, le petit Bobrislav propose à son père de raccourcir le patronyme familial afin de pouvoir s’américaniser et gagner ainsi des parts de marchés auprès de l’Amérique profonde. Lezch hésite quelques jours avant d’accepter la proposition de son fils. Le 16 septembre 1954, l’attorney du district du New Jersey rend public le changement de nom. Exit Serialowkjichoviskyskawjy. La famille devient Serial. Lezch prend le nom de Lester, Svetlana celui de Pamela Helen et Bobrislav devient tout simplement Bob.

A 9 ans, la vie de Bob connaît son premier drame. Lester meurt dans l’entrepôt familial écrasé par un sac de flocons d’avoine. Pamela Helen ne se remettra jamais vraiment de ce terrible accident. De cette épreuve, Bob en tirera une rage de vaincre qui ne s’est jamais démentie au fil des années. Il déclarera plein d’affection au sujet de son père toujours dans l’interview de 2004 :

« Il n’était pas armé pour recevoir de plein fouet le choc de la libre concurrence du pays de toutes les libertés. Je fais en sorte de l’être. »

Toujours est-il que ce drame constitue un tournant dans la vie de Bob Serial : désormais seul adulte mâle du foyer, il décide de prendre sa destinée en main en abandonnant définitivement l’école et en prenant la tête de l’entreprise familiale. C’est à ce moment précis que la légende de Bob Serial se met en marche…

Rapidement Bob comprend l’intérêt dans cette Amérique prospère de diversifier ses activités. Il lance plusieurs produits qui deviendront célèbres au cours de l’histoire : Serial Coke, Serial Sugar, Serial Burger, etc.

Et c’est en 1957, à l’âge de 11 ans que Bob créé la Serial Company qui dès sa première année d’existence atteindra le million de dollars de chiffre d’affaires. Bob réinvestit et développe la marque Serial. Il explore de nouveaux domaines : textile (Serial Jean’s), habitat (Serial House), pharmacie (Serial Meds), livres (Serial Book), électroménager (Serial Fridge), etc. Bob Serial surprend par son esprit vif, sa capacité de synthèse et ce sixième sens si courant chez les êtres d’exception.

A l’âge de 14 ans, Bob Serial est déjà à la tête d’une compagnie pesant plus de 75 millions de dollars avec 18742 salariés. De ces premiers pas, Bob Serial gardera un souvenir ému :

« C’était le temps de l’insouciance. »

La voie du succès, Bob Serial s’y engouffre avec délectation. Il ouvre de nouvelles filiales pour sa compagnie : armement (Serial Army), conquête spatiale (Serial NASA), informatique (Serial Computer), télévision (Serial TV),  musique (Serial Music), etc.

 

En 1967, alors qu’il n’a qu’à peine 21 ans, Bob Serial reçoit le prix du Director Branch Business Manager of the year décerné par le réputé Business Magasine. Ses pairs le reconnaissent enfin en lui donnant la plus haute distinction des milieux d’affaires.
 

Dès 1968, Serial NASA équipe les missions Apollo. Neil Armstrong déclara en arrivant sur la lune :

« Grâce aux combinaisons spatiales de Bob Serial, c’est un petit pas pour l’homme mais un pas de géant pour l’humanité. »

 

En 1972, Serial Company fait une introduction en bourse très remarquée. Le premier jour de sa cotation le titre atteint un record historique en connaissant une augmentation de 858 % en moins de deux heures. A une question d’un journaliste qui lui demande comment il prend cet accueil du marché, Bob Serial répond avec sa sagacité habituelle :

« JE suis le marché»

A ce jour, le titre Serial Company n’a jamais connu la moindre variation négative.

 

En 1974, Bob Serial créé Serial Media qui regroupe ses activités de Serial TV, Serial Radio et Serial Press.

 

En 1975, la première interview télévisée de Bob Serial à Serial TV bat des records d’audience. Plus de 260 millions d’Américains suivent en direct le récit de sa success story.

 

En 1976, Bob Serial connait son second drame familial : sa mère Pamela Helen meurt en voulant piloter un des jets de son fils. De ce terrible drame, Bob Serial dira quelques années plus tard :

« C’est la loi du marché.»

 

En 1978, les experts estiment la fortune de Bob Serial à un tera-milliard de dollars.

 

En 1979, afin de le remercier pour un don de 356 millions de dollars à son association caritative, John Lennon accepte de reformer les Beatles pour un concert très privé qui aura lieu dans la demeure de Bob Serial. Ce concert mythique est appelé le « Beatles for Bob Show »

 

En 1984, Serial Company s’implante définitivement dans le Golfe persique en rachetant les puits de pétrole saoudiens.

 

En 1986, Bob Serial se marie avec sa secrétaire Courtney-Jennifer. Le mariage comptera plus de 225 000 invités. Ronald et Nancy Reagan sont les témoins de l’heureux événement. Bob Dylan et les Rolling Stones jouent en honneur de l’union.

 

En 1987, le bonheur illumine la vie de Bob Serial, Courtney-Jennifer lui donne un fils Jean Kevin que tout le monde appelle Serial Junior. Bob Serial déclare :

« L’avenir de mon empire est assuré. »

L’action Serial Company connait une augmentation de 5287 %

 

Fin 1987, Bob Serial et Courtney-Jennifer divorcent sans qu’on ne sache jamais vraiment pourquoi. Bob Serial ne laissera qu’un seul indice de cette triste issue en déclarant :

« Courtney-Jennifer m’a déçu, elle n’était visiblement pas de taille à affronter la vie d’un vrai businessman. »

 

En 1988, Bob Serial pressentant la fin du communisme achète le mur de Berlin qu’il revend par morceaux une année plus tard.

 

En 1990, le chiffre d’affaire de Serial Company dépasse le PIB cumulé de tous les pays africains. Face à cette réussite, Bob Serial déclare dans Business Magasine :

« Nous sommes sur la bonne voie ! »

 

En 1991, Bob Serial créé Serial Net ayant anticipé la réussite du réseau mondial.

 

En 1996, Serial Mobile nait. Cette filiale vend plus de 828 millions de téléphones portables dès la première année.

 

En 2000, l’action Serial Company dépasse le plafond de 100 000 millions de dollars. Bob Serial déclara à cette occasion : 

« Ca baigne dans l’huile ! »

Cette expression fera le tour du monde. Plus d’un milliard de T-shirts sont vendus.

 

En 2001, Serial TV bat tous les records d’audience avec sa nouvelle émission Serial Loft. Trois humains sur quatre, a vu les aventures de Charles-John et Britney-Nathalie dans la piscine.

 

En 2007, Bob Serial reçoit son 40ème prix consécutif de Director Branch Business Manager of the year, établissant un record en la matière qui ne risque pas d’être battu de si tôt. Il déclarera lors de la cérémonie de récompense :

«  J’ai juste fait mon job ! »


En 2008, Serial Bank accorde un prêt de 3000 milliards de dollars au FMI pour faire face à la crise qui secoue les marchés mondiaux. L'action Serial Company prend 258 % en quelques semaines alors que les bourses mondiales s'effondrent.
Nicolas Sarkozy déclarera dans un discours historique au G8 :

«Bob Serial est un roc frappé par l’océan des instabilités économiques : nous pourrons nous appuyer sur lui pour y construire le phare qui nous apportera la lumière libérale, capitaliste et humaine dont nous avons besoin »

 
Aujourd’hui la fortune de Bob Serial est estimée à environ 995 milliards de Téra-milliards de millions de dollars. Quand on l’interroge sur ce chiffre qui pourrait faire tourner la tête, Bob Serial a cette réponse tout en pudeur :

« Ma seule richesse : c’est ma volonté de réussir ! »

Une leçon à méditer pour les générations futures…

 

Ce qu’ils en pensent

 

« Bob c’est LE rêve américain. »

Bill Clinton, 7 avril 1995, interview au Washington Post
 

« Bob c’est LE rêve de toutes les américaines. »

Monica Lewinsky, 14 mai 1999, interview à Rolling Stones Magazine
 

« Bob Serial est unique. Il n’y a qu’un Bob Serial, il n’y en a pas eu avant, il n’y en aura pas après. »

Mao Tse Tung, 1er mai 1974, discours devant le Congrès du Parti Communiste Chinois.
 

« L’aventure de Bob Serial est l’aventure même de ce siècle. Une longue marche vers le progrès de l’âme de l’humaine »

Martin Luther King, 19 septembre 1967, discours à Baltimore
 

« Bob Serial est un défricheur de territoires inexplorés qu’il transforme instantanément en réussite. Il vit le succès. Il est LE succès. »

Mick Jagger, 11 janvier 2006, interview à Serial TV
 

« Bob Serial, il est cool. »

Steve, leader des Love4you, 15 avril 2005, concert au Jason Stadium de Beverly Place